Nous vous proposions, dans une première partie consacrée à la mobilité durable, les raisons pour lesquelles, en tant qu’entreprise, il était indispensable d’engager une telle démarche. Dans cette seconde partie, nous proposons de vous partager les mesures que vous pouvez mettre en œuvre, ainsi que les moyens et aides dont vous pouvez disposer pour y parvenir.
Outre les aspects règlementaires, comment s’engager pour des mobilités durables dans son organisation ?
Quelle que soit la taille de votre entreprise, vous pouvez intégrer une réflexion sur les mobilités propres à votre stratégie annuelle. Si vous avez pour objectif de réduire l’empreinte carbone de votre entreprise ou simplement de faciliter les transports du quotidien pour vos salariés et de les rendre moins coûteux et moins polluants, de nombreuses solutions existent.
Dans un premier temps, il est recommandé de réaliser un état des lieux auprès de ses salariés pour comprendre leur mode de transport domicile-travail, étudier les déplacements opérés dans le cadre du travail (RDV commerciaux, tournées logistiques, participation à des salons et évènements, etc.), analyser les emplacements des bureaux, des plateformes logistiques, l’état de son parc automobile, etc.
Ce diagnostic est aussi l’occasion d’échanger avec les salariés sur les mesures à mettre en place, qui permettraient d’optimiser leur organisation, d’accroître l'efficacité de leurs déplacements de travail et de les accompagner dans l’évolution de leurs habitudes et pratiques lors de leurs trajets quotidiens. Les associer à cette réflexion conditionne la réussite des actions à mettre en place.
Voici à titre d’exemples, certaines des meilleures pratiques pour favoriser la mobilité durable dans vos organisations :
- Mettre en place des incitatifs financiers pour encourager la mobilité durable. En effet, la mise en place d’avantages financiers permet souvent aux organisations d’accélérer le processus de changement et de renforcer l’adhésion. Notamment grâce au Forfait de Mobilité Durable (FMD) qui permet d’indemniser les salariés faisant le choix d’un mode de transport alternatif et durable mais d’autres leviers peuvent être activés. Par exemple, une entreprise peut mesurer les économies générées et les convertir en avantages pour les salariés (bonification de rémunération, nouveau service pour les salariés type salle de sport, garderie, etc.). Elle peut aussi créer des bonus basés sur la performance environnementale en intégrant des critères de mobilité durable dans les évaluations de performance. Développer un programme de crédits carbone donnant des points aux employés qui réduisent leurs émissions de CO2 liées aux déplacements, est aussi une idée. Elle peut d'ailleurs être couplée avec la possibilité d'échanger ces points contre des avantages tels que des cartes-cadeaux, des jours de congés supplémentaires ou des réductions sur des produits et services.
- Encourager l’usage de mobilités douces (vélo, trottinette, rollers, gyropode, hoverboard, etc.) dans les trajets domicile-travail, les petits déplacements ou livraisons professionnels. Plusieurs mesures peuvent être mises en place outre la prise en charge financière évoquée précédemment :
- Créer des locaux de stationnement sécurisés,
- Mettre à disposition des outils de réparation et/ou un local pour l’entretien,
- Installer une douche au sein des bureaux,
- Réaménager le site pour le rendre plus facilement accessible aux piétons et aux vélos,
- Faire de la sensibilisation en interne, organiser des journées tests ou des défis mobilités,
- Passer par des services de livraison à vélo,
- Mettre à disposition des salariés des vélos électriques de service : découvrez notamment les vélos de Bocyclo dans la sélection du Réseau APOGÉES.
- Privilégier l’autopartage en permettant à plusieurs personnes d’utiliser un véhicule commun. Que ce soit un véhicule appartenant à l’entreprise utilisé par plusieurs personnes, ou en libre-service et mis à disposition par un organisme tel que Citiz, membre du Réseau APOGÉES, cette solution permet de remplacer les grandes flottes de société. Un véhicule en autopartage se substitue à 5 à 8 véhicules de service, ce qui permet de diminuer très vite les émissions de CO2 de son entreprise.
- Favoriser le covoiturage en facilitant la mise en relation entre covoitureurs internes à votre société ou également avec des entreprises voisines à la vôtre qui seraient intéressées par un regroupement des trajets. En plus de réduire le trafic routier, c’est également l’occasion de faire baisser les coûts de mobilité de vos salariés tout en préservant les véhicules. Réserver des places de stationnement aux covoitureurs peut également être un levier convaincant, tout comme la mise en place de chèques covoiturage.
- Soutenir les trajets en transports en commun par vos politiques de remboursement mais aussi aménager les horaires de travail des salariés lorsque c’est possible par exemple, afin de leur éviter les heures de pointe. La flexibilité offerte peut les inciter à prendre un bus ou un métro. De plus, si votre entreprise est située dans une zone d’activités, des négociations peuvent aussi être engagées avec les opérateurs de transport en commun pour améliorer la desserte du site. La mise en place de navettes desservant les points d’arrivée aux transports en commun est aussi envisageable si votre site n’est pas desservi. Ces solutions peuvent être mutualisées entre différentes entreprises, et il ne faut pas hésiter à s’appuyer également sur les territoires. En effet, plusieurs métropoles ou communautés de communes proposent des conseils, animations et appuis sur les mobilités auprès des employeurs désireux d’améliorer les conditions d’accès aux sites de travail de leurs salariés.
- Définir des consignes de déplacements professionnels responsables en encourageant les salariés à recourir systématiquement au train plutôt qu’à l’avion quand l’offre adaptée existe. Utiliser les transports en commun plutôt que le taxi pour les localisations faciles d’accès, ou imposer le choix de véhicules économes pour les prestations de location de voitures sont d'autres options. Pour le choix des lieux d’événements d’entreprise (séminaires, formations, voyages liés aux challenges commerciaux, etc.), ils peuvent aussi être faits de manière à limiter l’impact des déplacements en privilégiant des lieux accessibles en transports en commun. Autre mesure innovante : proposer des jours de congés supplémentaires pour les salariés qui privilégient un mode de transport plus écologique pour leurs vacances.
- Analyser les usages de son parc automobile afin d’adapter sa flotte aux besoins réels. Vous pouvez notamment réaliser ce diagnostic avec nos experts du Réseau APOGÉES. Cette solution vous permet d’étudier les types de déplacement, les consommations des différents véhicules, les coûts associés, etc. Elle vous propose ensuite différents scénarii de gestion ou de renouvellement de votre parc.
- Former vos collaborateurs à l’éco-conduite afin qu’ils adoptent les bons comportements au volant. Cela bénéficie à l’environnement, à la sécurité de vos salariés mais aussi à votre portefeuille grâce aux 15 à 35% d’économies de carburant générées. Les partenaires experts du Réseau APOGÉES peuvent vous accompagner sur ces formations.
- Réduire les déplacements par des changements liés à l’organisation du travail : permettre et encourager le télétravail en équipant ses collaborateurs (ordinateur, téléphone, abonnement internet, voire chaise et bureau , etc.). Remplacer certains RDV réguliers avec des collaborateurs de différents sites par des réunions virtuelles sous forme de visioconférences ou de points téléphoniques est une autre option. Enfin, vous pouvez aussi utiliser des outils collaboratifs pour des travaux de groupe, revoir le nombre optimum de réunions et de formations et les personnes qui doivent y assister physiquement, etc. Ces solutions sont de plus en plus déployées au sein des entreprises qui n’hésitent plus à se faire accompagner.
- Mettre en place des outils internes permettant de calculer l’impact de la mobilité. Par exemple, un tableau calculant la quantité de CO2 émis pour chaque déplacement permet d’indiquer ces émissions sur les notes de frais des collaborateurs pour les sensibiliser. Sur cette base, une entreprise peut également donner un budget carbone, à chaque service ou collaborateur, à ne pas dépasser pour ses déplacements annuels.
- Revoir les processus internes concernant votre logistique, vos achats, vos livraisons, etc. en mutualisant vos commandes ou livraisons, en optimisant vos tournées commerciales, en regroupant vos sites, ou en relocalisant vos entrepôts.
En tant qu’entreprise ou organisation, comment choisir ses véhicules pour aller vers une mobilité plus durable ?
Poussés par la transition énergétique et les aides de l’Etat, les constructeurs multiplient les annonces autour des nouvelles énergies et le parc des professionnels et particuliers prend progressivement le virage du verdissement. Aux traditionnels moteurs thermiques sont venus s’associer des alternatives “faible émission” comme l’électrique, l’hydrogène ou encore le bio-carburant.
Parmi les biocarburants, le Superéthanol-E85 est notamment composé de 65% à 85% de bio-éthanol produit à partir de matières premières végétales comme le maïs ou la betterave sucrière. Commercialisé en France depuis 2007, ce carburant est plus respectueux de l’environnement, il permet de réduire de 70 % les émissions de CO2 et de 90 % les émissions de particules fines par rapport à un véhicule roulant à l’essence.
Pouvant également être jusqu’à 2 fois moins cher qu’un carburant classique, le Superéthanol E85 est une solution qui séduit de plus en plus d’entreprises. Vous trouverez notamment dans la sélection du Réseau APOGÉES, des gammes de véhicules hybrides Superéthanol-E85, ainsi que des kits de conversion au bioéthanol pour transformer vos véhicules thermiques ou hybrides.
Enfin pour vous aider dans votre choix de véhicules, vous pouvez consulter le palmarès ADEME des véhicules les moins émetteurs de CO2 sur le site « Car Labelling ADEME » qui vous permet de comparer les véhicules par rapport à leurs critères environnementaux.
La liste dressée par l’Etat des véhicules éligibles au bonus écologique peut aussi être une ressource pour sélectionner des véhicules avec un score environnemental faible.
Si votre choix se porte sur l’acquisition d’un véhicule, les experts du Réseau APOGÉES vous recommandent également de :
- vous questionner concernant l’utilité d’une acquisition : si vous n’avez prévu d’utiliser le véhicule que quelques heures par jour ou moins, ne vaut-il pas mieux trouver le moyen de mutualiser un véhicule avec un partenaire ? Ou d’utiliser un service d’autopartage ?
- choisir un véhicule en fonction de l’usage que vous comptez en faire : si la majorité de vos déplacements se font en ville par exemple, inutile d’acheter un 9 places au regard des problématiques de stationnement qu’on y rencontre. L’utilisation de 2-roues bien moins émetteurs de CO2 pourrait-elle remplacer certains de vos véhicules ?
- opter pour une motorisation adéquate : l’essence n’est pas recommandée en cas de gros kilométrages par exemple, ou les motorisations 65 ch sont peu adaptées en zone de montagne,
- ne pas choisir un véhicule en fonction de sa capacité à satisfaire 100% des cas d’usage : par exemple, si vous avez besoin occasionnellement de transporter des passagers à particularités (personnes âgées ou en situation de handicap), mieux vaut louer un véhicule adapté quand cela est nécessaire plutôt que d’en faire l’acquisition,
- opter pour des options qui peuvent permettre d’optimiser davantage les consommations de vos véhicules (régulateur ou passage optimisé de vitesses, système « Stop & Start® »), en réduisant en moyenne de 20 % vos émissions de CO2 en ville,
- faire attention à l’entretien de vos véhicules : l’utilisation de pneus adaptés et le maintien d’un bon niveau de gonflage peuvent permettre de baisser la consommation de carburant jusqu’à 5 %. Vous trouverez notamment des pneumatiques « verts » dans la sélection du Réseau APOGÉES conçus pour réduire votre consommation. Le bon entretien du filtre à air permet également une diminution de la consommation d'essence de 3 %.
De plus, si vous souhaitez vous équiper en véhicules propres mais ne pouvez pas payer comptant et ne souhaitez pas contracter de crédit bancaire, des solutions existent. Le leasing est une alternative qui permet de louer des véhicules avec option d’achat (LOA) ou en longue durée sans option d’achat (LLD) en optant pour des mensualités moindres. En tant qu’adhérent APOGÉES, vous bénéficiez de conditions particulières auprès de nos partenaires de leasing ou de crédit-bail, n’hésitez pas à contacter nos experts à ce sujet.
Quelles aides pour passer à la mobilité durable ?
Toutes ces démarches peuvent être soutenues par des aides financières, et des dispositifs de soutien ont été mis en place pour favoriser des mobilités de plus en plus responsables au sein des entreprises.
Au niveau fiscal dans un premier temps :
- L’employeur peut bénéficier d’une réduction d’impôts s’il met gratuitement à disposition de ses salariés une flotte de vélos pour leurs déplacements domicile-lieu de travail, dans la limite de 25 % des frais engagés pour l’achat ou l’entretien de la flotte de vélos ou vélos à assistance électrique. (Si l'employeur est soumis à l’impôt sur les sociétés).
- Une exonération d’impôts et de cotisations sociales allant jusqu’à 800€ par an et par salarié peut être allouée à une entreprise si elle met en place un forfait de mobilité durable (FMD) pour encourager ses salariés à la mobilité douce. (800€ en cas de cumul avec un abonnement de transports en commun, sinon, le maximum est de 700€ pour le FMD seul. Ce plafond d'exonération en cas de cumul sera relevé à 900 € par an et par salarié à partir du 1er janvier 2025).
Des aides existent également pour que les entreprises puissent recourir à des véhicules peu polluants. Le bonus écologique et la prime à la conversion par exemple ont été créés pour accompagner les particuliers comme les professionnels dans le verdissement de leurs véhicules :
- Avec le bonus écologique, votre organisation, en tant que personne morale, peut bénéficier jusqu’à 5000€ de réduction sur l’achat d’un véhicule électrique. L’achat d’un vélo-cargo, à assistance électrique ou non, ou d’une remorque électrique est également éligible au bonus (pour montant maximum de 1000€).
- Avec la prime à la conversion, les professionnels peuvent renouveler leur flotte en faveur de véhicules peu polluants, grâce à une aide à l’achat ou à la location d’un véhicule électrique ou hybride rechargeable neuf ou d’occasion, en échange de la mise au rebut d’un véhicule classé Crit’Air 3 ou plus ancien. Cumulable avec le bonus écologique, la prime peut atteindre : 2500 € pour l’acquisition d’une voiture électrique, 9000 € pour un véhicule utilitaire léger électrique ou 1500€ pour l’acquisition d’un vélo électrique.
- Dans les ZFE-m, une entreprise peut bénéficier d’un prêt à taux zéro pour l'achat d'un véhicule « propre ».
Ces aides nationales sont cumulables avec des aides locales mises en place par les différents territoires. Il existe par exemple une surprime d’un maximum de 1000€ si le bénéficiaire se situe dans une zone à faibles émissions (ZFE-m) et bénéficie d’une aide similaire attribuée par une collectivité territoriale. Renseignez-vous auprès de nos experts DARIUS Mobilités pour savoir à quelle aide vous pouvez prétendre selon votre lieu d’implantation.
Autre programme, l’aide Advenir, propose des primes aux entreprises pour l’installation de bornes de recharge. Les montants varient notamment en fonction de si le parking privé et les bornes sont accessibles au public, ou réservés seulement à la flotte de véhicules d’une entreprise ou à ceux de ses salariés.
Pour promouvoir le vélo pour les déplacements de ses salariés, une organisation peut également se faire accompagner par le programme Objectif Employeur Pro-Vélo (OEPV) qui propose un soutien financier (cofinancement de 40 % à 60 % pour la mise en place d’équipements et services pro-vélo) et un accompagnement clé-en-main vers la labellisation Employeur Pro-Vélo.
Les points de vigilance :
La transition vers une mobilité durable au sein d'une organisation est un processus complexe qui nécessite un changement fondamental dans les habitudes des salariés. La résistance au changement peut être l'un des principaux défis à surmonter lors de la mise en œuvre de nouvelles pratiques liées à la mobilité durable. Pour atténuer cette résistance et engager les collaborateurs, il est impératif d'adopter des approches de sensibilisation régulières et continues.
Impliquer ses salariés dans les processus de réflexion, en les encourageant à partager leurs préoccupations et idées, ainsi que dans le processus décisionnel permet de renforcer l’appropriation et le sentiment de responsabilité.
De plus, des actions concrètes telles que des sessions de sensibilisation interne, des formations et des moments ludiques pour expérimenter de nouveaux modes de mobilité peuvent contribuer à la découverte, à créer de l’engagement et à atténuer les freins. A l'instar d'une journée d'essai de véhicules électriques, d'un atelier covoiturage, d'une démonstration de vélos électriques, ou d'une semaine de défi mobilité douce, etc.
La communication est également un élément crucial pour maintenir l'élan vers une mobilité durable au sein de l'organisation. Dans un premier temps, la diffusion d’informations claires sur les actions mises en place et sur les alternatives disponibles doit être faite auprès des salariés mais également en externe (sur le site web) pour encourager les visiteurs à privilégier des modes de transports doux. Ensuite, une communication régulière et transparente sur les efforts réalisés (sur la mobilité mais également sur d’autres postes d’émissions) et sur les réussites participent à encourager l’adhésion, notamment lorsqu’elles incluent des mesures d’impact chiffrées (réductions d’émissions, économies déjà réalisées).
Enfin, il est important de capitaliser sur les salariés moteurs et d’encourager le partage d'expériences entre collègues qui ont déjà adopté des pratiques de mobilité durable. L’exemplarité du management et la mise en avant de témoignages concrets sur les bénéfices personnels et professionnels, peuvent être des catalyseurs puissants pour inspirer d'autres à embrasser le changement.
Ainsi, la modification de l’organisation et l’adoption de nouvelles pratiques en termes de mobilité peut parfois s’avérer être un processus long, mobilisant des ressources importantes. N’hésitez pas à vous faire accompagner sur ces problématiques pour assurer une transition fluide et créer une culture d'entreprise engagée et prête à adopter la mobilité durable. Nos experts du Réseau APOGÉES sont à votre disposition pour vous conseiller sur les différentes étapes.
Les étapes clés pour mettre en place une démarche de mobilité durable au sein d’une organisation :
Source : Goodplanet.org « ENTREPRISES - GUIDE PRATIQUE : RÉDUIRE LES DÉPLACEMENTS DES COLLABORATEURS »
Les ressources pour aller plus loin :
- L'article du gouvernement sur le défi de la mobilité douce
- Les ressources de l'ADEME : sur la mobilité, sur la qualité de l'air
- En savoir plus sur le dispositif des zones à faibles émissions mobilité (ZFE-m)
- En savoir plus sur la loi LOM de 2019 et sur la loi Climat et Résilience de 2021
- En savoir plus sur la mobilité durable en entreprise ou sur le Forfait Mobilité Durable (FMD)
- Autre ressource pour optimiser les déplacements professionnels en entreprise
- Enfin, consultez la ressource « Mon entreprise à l’heure des mobilités durables – Comment engager la transition» qui peut vous aiguiller dans la mise en place de votre plan d’actions, au bénéfice de l’environnement comme de la qualité de vie au travail dans votre entreprise.
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